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chroniques d’un humoriste sans talent plaidoirie pour franck ribery françaises, français, sportives, sportifs, biloutes, biroutes, je ne sais pas quelle est votre taille… mon président qui passe son temps à se laisser choir sur son fauteuil de velours, mon petit procu qui a chu lors de son réquisitoire… mon petit franckiki, si vous me permettez de vous appeler ainsi. aujourd’hui, je dois défendre ribery, et sachez que je le ferais avec un plaisir, surtout depuis que j’ai eu connaissance de votre salaire, mon petit frankie. parce que le foot est la preuve qu’un con peut devenir riche… mais assez de ces bassesses, et revenons à nos propos. mes chers petits jurés, ce pauvre petit ribery est innocent, comment pourrait-il en être différemment me dirais vous. ce petit homme est considéré comme un dieu en allemagne. certes, vous me direz que ce n’est qu’en allemagne, mais c’est déjà un début. entre une fête de la bière, une fête de la saucisse, les allemands sont des gens qui ont pour sur un sens de l’humour ravageur. mais d’ailleurs, mon petit ribery, n’avez-vous pas peur de faire l’euro cet été. non parce que si vous vous qualifiez pour les quarts de finale, vous irez jouer en autriche. alors un conseil, surtout n’acceptez pas si un autrichien vous propose d’aller visiter sa cave, même si c’est un passionné d’œnologie, car passer 24 ans dans une cave, c’est pas franchement une joie. d’ailleurs, remarquons quand même qu’ils ont de drôle de mœurs ces autrichiens, enfin, quand même, nous en france on est plus civilisé que cela, on les congèles nos enfants. d’ailleurs, un petit conseil aux hommes qui serait un petit trop naïfs. si vous avez remarqué que pendant près de neuf mois votre femme n’avait cesser de grossir et que d’un seul coup elle a maigrie à vue d’œil, méfié vous, aucun régime ne marche aussi bien. et si des fois par hasards, elle vous interdit formellement d’aller chercher des surgelés, vous pourrez vous posez des questions. bon, enfin, quand même, je me dis qu’on invite le petit ribery simplement parce que aujourd’hui les chtis, c’est la mode. d’un autre côté, nous, les chtis, on les aime bien. pas comme certains supporters parisiens, qui ont eu le bon goût d’écrire des mots indolents au sujet des gens du nord. mais ils n’avaient qu’à aller voir en masse le film de klapisch, paris, au lieu d’aller voir bienvenu chez les chtis. mais ce qui m’a le plus choqué dans cette banderole, c’est qu’il n’y avait pas de fautes…sauf très certainement de goût. enfin, heureusement, que comme mon client, les supporters lensois gardent toujours la frite, et comme je le dis à chaque fois, l’important c’est de s’aimer. 5 mai, 2008 à 14:57 | commentaires (0) | permalien plaidoirie pour amandine s. française, français, parisiens, parisiennes, mon chien, ma chienne, mon train, me traîne…, monsieur le président, contre qui j’ai une dent…, monsieur le procureur, qui dans la robe austère de la justice, sous laquelle je ne vous raconte pas…ne me fait même pas peur…, mesdames et messieurs les lecteurs, mes amours, mes chéris… je voulais rendre un brillant aux mages, à une fidèle lectrice, si parfaite que les oiseaux arrêtent de voler pour la regarder, de même que les jeunes, eux aussi, arrêtent de voler pour lui vouer un culte digne d’une déesse grecque… ils sont d’ailleurs appelés culturiste, c’est pour dire le niveau… je le dis sans haine viscérale, et ne faisant référence à personne d’autre que les personnes à qui je fais référence, mais peut-être est-ce la seule dans ce cas, la seule qui sache lire (désolé pour les autres lectrices qui savent aussi lire, mais qui font comme si elle ne savaient pas, enfin bref, je me comprend…) et qui est la seule reconnaissant mon talent, que je qualifierais plus modestement de génie… oui, cette fille, à qui j’ai promis de dédier un article (c’est pour ça que je suis obligé de l’écrire, car ne vous inquiétez pas, vous, les autres membres de la gente féminine, je suis aussi tout à vous…je n’ai pas de préférée, alors, si toi aussi, jeune fille qui lit cet article, et dont la jalousie provoquée par mes propos est poussée à son paroxysme, tu peux entrer en contact avec moi même…., je me le ferais parvenir…) bref, revenons à nos moutons…enfin, non, pas nos moutons, puisque si je dis cela, tu risquerais de te vexer, or, ça serait très vexant… donc, revenons à nos propos… et parlons de science, car la bougresse (en hommage à monsieur bougrain-dubour) est une scientifique chevronnée (en hommage à chevrolet). la science, qui a permis aux hommes de pouvoir s’anéantir et de faire sauter au moins trois fois la même planète, c’est si dire c’est pas bête ça…juste parce qu’un fou d’haut delà des mers appui sur un bouton… oui, vive la science, comme disais desproges (qui, pour vous, jeunes incultes boutonneux, est le plus grand humoriste de tous les temps…)… hé oui, cruel dilemme, car la science, qui permet à l’homme de vivre plus longtemps, et plus décemment, lui permet aussi de s’entretuer plus facilement… mais mes amis, je vous le demande, peut-on croire aux jésuistiques jérémiades des savants atomistes ? car souvent, il regrette après, facilité… mais qu’est ce qu’ils croyaient les bougres, que l’énergie nucléaire ne servirait qu’à éclairer les salles de bains des dandys petits bourgeois ??? d’ailleurs, n’est-il pas vrai que sans piles on perd la face ? mais revenons à notre sujet, car je sens que l’on s’en écarte, or, il faut toujours un peu de recul, pour réduire les écarts, si l’on se veut pas se retrouver à l’écart justement… alors, amandine, je te demande de me pardonner d’avoir si peu parler de toi dans un article qui t’était pourtant consacré, en reprenant la formule consacrée… (je sais elle était facile celle là…) (oui, moi aussi, j’en ai un peu marre de ces commentaires entre guillemets, je ne vous raconte pas à quel point, exclamons nous et interrogeons nous ensemble mes amis, pour mettre un point final, et passer à la ligne…) donc, et par là je m’étonne de mon raisonnement, aussi brillant soit-il, amandine est une fille bien, qui, disons le en toute connaissance de cause, gagne à être connu, et dont je reconnais bien volontiers, la volonté sympathique à reconnaître elle même qu’elle est méconnue… 5 mai, 2008 à 13:11 | commentaires (0) | permalien plaidoirie pour marie c. françaises, français, bretons, bretonnes, marins, marines, lapin, la pine… monsieur le président qui siège sur son trône, monsieur l’avocat qui passe son temps sur le trône (ha, le cassoulet n’est plus ce qu’il était), mesdames et messieurs les jurés… lecteurs chéris, mon amour… ma chère, très chère marie… j’ai aujourd’hui pour mission de défendre marie la bretonne… mission délicate s’il en ai, car une bretonne, ça ne se défend pas n’importe comment, enfin, je me comprend… c’est pour cela que je vous demande d’être clément envers marie, sinon jean fait une affaire personnelle… voici donc quelque temps déjà que je n’avais plus revu ma cliente. puis il y eu ce matin. ce matin là, il faisait froid, tellement froid que si vous aviez eu la robe de la justice sous laquelle, je ne vous raconte pas. c’était un matin gris, comme il en existe des milliers. moi j’étais seul à me promener, lorsque soudain je la reconnu, de mon passé elle m’était revenue. les ailes déployées, elle vint soudainement me donner un baiser, un de ceux qui vous font monter au ciel, qui vous font oublier que pendant ce temps, des petits enfants meurent dans le darfour. bref, vous m’aurait compris, j’était toute chose, lorsque je réalisa que tout ceci n’était qu’un rêve. comprenez donc mon désarrois. c’est pour cette raison que je préfère ne plus parler de ma cliente, de sa beauté volubile (hé oui, moi aussi je connais des mots savants) et des ces yeux, haaa ces yeux. comme disais notre regretté bobby lapointe, « elle a des yeux, ha les beaux yeux… ». et sa bouche, et ses lèvre, et ses jambes… et encore, je ne vous parle pas du reste. ainsi, pour mettre fin à vos pensées polissonnes, mes très cher lecteur